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Marilyn, l’étourdie

Sabine Delahaut

Marilyn, l’étourdie  - Mon imaginaire trouve sa source dans l’histoire du vêtement et de la parure, j’observe les liens que ceux-ci tissent avec le corps féminin, le sublime, la cruauté et le ridicule.
Ejemplo de texto, del 21 agosto. Les habitants des hauts plateaux craignent que le projet ne les prive de leurs ressources en eau. | Chile/Cecile Bouscayrol
  • “Marilyn, l’étourdie ”
  • 2008
  • Burin sur zinc
  • 30 x 40 cm
  • ©

Mon imaginaire trouve sa source dans l’histoire du vêtement et de la parure, j’observe les liens que ceux-ci tissent avec le corps féminin, le sublime, la cruauté et le ridicule.

Je m’interroge sur cette relation masochiste, sur ce carcan imposé par la société mais bien souvent voulu et défendu becs et ongles par la femme elle-même.

J’aime aussi explorer notre part d’animalité, les jeux et mutations du corps.

Sabine Delahaut 2009

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