Laila Havilio
Granit de rivière
Chaque face sculptée de la pierre contient un corps : les polarités féminine et masculine, lesquelles se confondent en leurs contours. Cette métaphore de l'amour se rapproche des deux principes Yin et Yang de la philosophie taoïste. Laila Havilio transcrit avec élégance l'interaction de deux énergies complémentaires, puisque dans l'un se retrouve une partie de l'autre, et interdépendantes de l'harmonie et l'équilibre au sein de l'univers.
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Nous sommes un
2016
Pierre basaltique de la rivière Maipo
An.37 x Al.49 x P.21 cm
Repos mérité
2016
Pierre volcanique
L.55 x H.47 x P.38 cm
Debout
2016
Pierre basaltique de la rivière Maipo
L.28 x H.63 x P.26 cm
Tête
2016
Pierre basaltique de la rivière Maipo
L.26 x H.57 x P.29 cm
Laila Havilio
Granit de rivière
La veine marquant l'ancienneté du bois inspire une série de visages sculptés qui forme une seule et même œuvre dédiée à l'arbre abattu dont ils sont la mémoire. Taillés en tronçons, l'alternance des cercles concentriques constituent la spécificité de ce très bel ensemble.
Les visages, de nouveau suggérés, dont l'un est légèrement incliné vers le ciel, sont empreints d'une grande intériorité comme s'ils appréhendaient le monde avec la conscience d'en être responsables.
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Laila Havilio
Pierre volcanique de la rivière Maipo
Au moment de la sculpter, l'intensité du noir de la pierre, très dense, a influé sur l'émotivité de Laila Havilio. Il lui a inspiré une grande solennité de sorte que de la pierre surgit un visage très digne. Il semble vouloir vivre et l'artiste a ressenti beaucoup d'émotion en voyant le résultat final.
Posé sur un socle en partie brisé, son œuvre transmet à la fois force et fragilité. Il pourrait être le souffle de vie car sa forme inachevée émerge du socle. Il pourrait être cet être « incréé ».
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Je suis de pierre
2013
Pierre métamorphique de la rivière Maipo
An.35 x Al.57 x P.28 cm
Ames sœurs
2012
Pierre
An.52 x Al.36 x P.23 cm
Envol
2011
Pierre basaltique de la rivière Maipo
An.37 x Al.56 x P.24 cm
Esprit marin
2011
Pierre métamorphique de la rivière Maipo
An.47 x Al.34 x P.25 cm
Laila Havilio
Pierre métamorphique de la rivière Maipo
Les roches qui proviennent de la cordillère des Andes sont charriées par les eaux ruisselantes jusqu'aux rivières dont la rivière Maipo à 60km au sud-est de Santiago. Et « quand la rivière rêve, c'est parce qu'elle apporte des pierres ». Ces pierres roulées par les eaux et que l'on trouve tout le long de la rivière sont appelées « cantos » et inspirent nombre d'artistes...
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"Pratiquer la sculpture est, pour moi, avant tout thérapeutique. Cela me libère. Quand je travaille, le monde s'arrête, c'est l'ici et l'instant présent. Ma concentration est à son apogée et la connexion avec mon travail est total. J'aime ce que je fais, je sens que je suis venue au monde pour réaliser ce travail.
Je vais à la rivière chercher des pierres et réellement elles m'interpellent par leur forme et leur coloris, je peux voir l'œuvre terminée, ses contours et couleurs définissent ce qu'elles deviendront en priorité..."
Decouvre
Sculpture / Installations
L'amour et la haine
Artiste aux multiples talents, Ossip Zadkine sculptait toutes sortes de matériaux : mortier, bois, plâtre, pierre, bronze, etc. Son travail exhale une grande tendresse pour la femme qu'il représente avec délicatesse. Son art est suggestif : caresse, respiration, mouvement allégorique ou allusif, sauf lorsqu'il exprime son dégoût de la guerre. L'œuvre de Zadkine exprime l'humanité d'un homme qui fait la différence entre l'amour et la haine. De la religion juive, il ne parle guère, mais le cours des événements l'oblige à l'exil aux Etats-Unis, seul, car sa femme Valentine Prax doit rester à Paris pour préserver son travail de la confiscation par les nazis.
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Moving Art International |
03, February
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Ossip Zadkine a abordé dès 1920 le thème de Rebecca en sculptant en bois de cormier La jeune-fille à...
Depuis toujours il y a eu une amitié entre artistes et poètes, parce que d’une certaine manière les poètes illuminent notre travaille de leur foi, ouvrant portes et fenêtres au milieu des passages obscures du train train quotidien qui façonne la réalité de l’homme. Comme le dit le sculpteur Francisco Gazitua « personne ne supporte douze de poussière et d’effort, si ce n’est pour le poète mis dans le cœur » et ainsi est-ce réellement.
Decouvre
Sculpture / Installations
Vanessa Boccardo, série de "Boites" - Poème de Sergio Munoz Arriagada...
Vanessa Boccardo, série de "Boites" - Poème de Juan Cameron...
Vanessa Boccardo, Poème Enrique Winter ...
Ce projet consista en un périple d’une structure tridimensionnelle qui fut déplacée en divers lieux ...